Risque supérieur de pauvreté après la dégressivité des allocations de chômage
Risque supérieur de pauvreté après la dégressivité des allocations de chômage

La libre Belgique publie ce jour, le résultat d’une étude menée par le Conseil central de l’Economie et qui concerne la dégressivité des allocations chômage.
Cette diminution a un impact sérieux sur le pouvoir d’achat des demandes d’emploi.

Avant la réforme, le risque de pauvreté pour le chômeur passait de 16,2 % (après 13 mois de chômage) à 21,5 % (après 61 mois de chômage), mais il s’avère qu’à l’issue de la période envisagée, ce n’est plus 21,5 % qui sont à considérer, mais 28 %.

Le risque de pauvreté est donc bien supérieur.

Certes, la dégressivité des allocations de chômage a clairement renforcé la reprise d’un travail pour le chômeur, mais quand cela est possible.

Avant la réforme, un chômeur qui reprenait un travail après une période d’inactivité de 61 mois, voyait ses revenus nets augmenter de 64,3 %.

Après la réforme, la plus value moyenne est estimée à 74 %.

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